L’ENCLOS DE L’ELEPHANT


Un homme lit paisiblement son journal, confortablement installé chez lui lorsqu’un visiteur se présente. L’orage gronde dans le ciel et l’étranger n’a pas de parapluie. Il demande donc la permission d’entrer et dainsi de pouvoir se mettre à l’abri de la pluie qui ne mtardera guère à en jurer par le fracas du tonnerre.
L’ENCLOS DE L’ELEPHANT à bien y regarder n’est pas du théâtre, mais la scène de la vie elle-même. L’urgence et la nécessité nous pressent comme le fait à tout instant la banalité de la vie de tous les jours. C’est là une évidence, mais il n’y a pas de leçons à tirer. Tout au moins de manière dogmatique. Pas de leçons donc, mais une multitude de voies où s’engager. Des portes à pousser. Ou non.
Pouvons-nous avoir la prétention de connaître l’Autre ? Et d’ailleurs nous connaissons-nous nous-mêmes ?
L’ENCLOS DE L’ELEPHANT ne nous apporte pas de réponses. Mais des interrogations bien utiles