I MISGI : UNE COUR ET LE THEATRE DE LA VIE
Dans le dernier roman de G.THIERS (I Misgi, Albiana, 2013, 165 pages) alternent deux discours. Celui d’une fillette découvrant avec étonnement le monde complexe de la vie de tous les jours et de ses gens. Son observatoire ? La cour d’un immeuble de la ville où viennent déboucher mille faits insignifiants du quotidien, mais aussi de mystérieux enjeux que les adultes s’évertuent à cacher sous l’apparence des conventions.