Au-delà de l'horreur de la dévastation

Okakura raconte
en évoquant le grand Maître
du Thé, Kobori-Enshu,
qu'un certain noble
de l'époque Sung
dit : Quand j'étais jeune
je chantais les louanges des peintres
dont les toiles m'avaient séduit.
Mais avec le temps, en mûrissant,
c'est moi que j'applaudis
en voyant que m'émeut,
qu'est capable de me plaire
l'œuvre qu'un grand artiste a fait
pour qu'elle me plût.
Médite cela,
cher lecteur.